mardi 26 mai 2009

Message aux transexuels

J'aimerai m'adresser aux nombreux transexuels qui lisent mon blog.

Je veux rassurer ces populations fragilisées; il n'y a pas de transphobie. La transphobie cela n'existe pas, personne n'est transphobe.

Vous voulez en être sûr? comme je vous comprends.

Primo, Il n'y a pas de transexuels; à l'échelle d'un pays, d'une ville ou de l'humanité les transexuels sont une catégorie qui ne représente pas une proportion significative de personne (moins de 0,0001%). Autrement dit, personne n'a jamais vu de transexuel, sauf à la télé. Le transexuel est donc tellement rare que nous ne le connaissons qu'en 2 dimensions ou personnellement. Dans cette seconde hypothèse si quelqu'un vous déteste, c'est vous personnellement qu'il déteste et non pas le transexuel en vous.

Secundo, Une phobie c'est une peur.
On peut avoir peur de l'inconnu ou de la différence (étranger, homosexuel etc...) c'est concevable, mais on ne peut pas avoir peur de ce qui est ridicul et ne représente une menace pour personne.
Les hommes peuvent s'effrayer des gays car ils y voient un rabaissement de la virilité, ils peuvent s'effrayer des lesbiennes car elles ressemblent à des camioneurs voire à des camions, mais qui pourrait avoir peur d'un trans?
Ils nous font rire, pas peur.

Par pitié ne confondez pas la moquerie et le mépris avec la haine ou la peur.
Nul n'a peur de ce qui le fait rire, regardez Harry Potter quand il doit se battre contre les épouvantards qui se transforment en sa plus grande peur, son professeur explique à ses élèves qu'il faut ridiculiser ce qui leur fait peur.

Alors si vous ne voulez pas être frappés, torturés, tués voire pire discriminés, acceptez d'être moqués, ridiculisés et méprisés.

C'est une dure loi, mais maintenant que vous commencez à vous prendre au sérieux vous allez commencer à susciter de la haine et de la peur. Donc, si par hasard quelqu'un rencontre un transexuel, il va se poser une question binaire:
Est-ce que je suis avec ou contre eux?
Et quand il vous regardera, l'homme qui, comme tous ou presque, a peur du ridicul (l'Homme est très ridiculophobe) se dira qu'il ne peut pas, qu'il ne veut pas être avec vous, et comme vous ne lui avez laissé que le choix d'être contre, au lieu de ses railleries virils ce sont ses coups que vous récolterez.

lundi 18 mai 2009

Sagesse venue du parti Radical

Un jour qu'on interrogeais Georges Clémenceau sur le droit de vote des femmes, il répondit ceci:
-on a déjà fait une connerie avec le suffrage universel, on ne va pas recommencer.

remarque d'un romain décalé

Quand je critique l'homosexualité et surtout sa place dans la société actuelle, on me dit que je suis homophobe. Ensuite on m'explique que les homophobes sont des homosexuels refoulés.

Donc en gros si je résume, lorsque je dis: "j'aime pas les pédés" on me réponds en me traitant de pédé.

Alors,

Premièrement le "c'est celui qui dit qui est" ça casse, mais entre élèves de CP seulement.
et deuxièmement je vais citer un ami qui se reconnaitra: "l'homosexualité c'est pas une maladie, mais personne ne veut l'attraper".

Avec tout ça, je suis finallement heureux de vivre une époque si schiz... pleine de contrastes et de diversité.

lundi 4 mai 2009

Christophe Willem est un sex-symbol

via e-deo

http://www.youtube.com/watch?v=CDcnfWRVa7U

Résumons: un clip (sur lequel je ne me prononce pas sur le plan artistique) montre une assemblée de chrétiens coincés (l'orateur de départ est en clergyman lors de l'office, il doit donc s'agir d'une église protestante) et le Christophe Willem vient chanter pour décoincer tout ce petit monde et transformer le triste édifice en boite de nuit et les choristes en gogo-danceuses.

Passons sur le coté "vive la fête à-bas tout ce qui est solemnel" qui résume assez bien l'époque et sa dictature du relativisme qui oblige à tout mettre sur le même plan, Eglise-boîte de nuit-politique tout ne doit être que "cool" dans le monde des festivus. Passons aussi sur le coté gros rebelle d'un chanteur qui va chanter dans une assemblée d'acteurs grimant des évangélistes américains au lieu d'aller en caméra caché chanter les louanges de Benoit XVI dans un planning familial ou encore celle de Ben Gourion dans une mosquée.
Personnellement ce que je trouve génial c'est qu'une espèce de follasse à la voix de nymphette arrive à transformer des nonnes en putes par le seul effet de ses déhanchements éfféminées.
Si par hasard une jeune fille lisait ces lignes j'aimerai qu'elle me confirme la puissance de l'attraction sexuelle que déclanche la "tortue".

Chronique de la propagnade ordinaire

Pas assez de racisme en France? Alors recréons-le...
Je livre ici cet article de Marianne, très éclairant sur les méthodes de la télé-réalité mais également journalistiques. La réalité, il ne s'agit pas de la décrypter, mais aussi et surtout de la transformer dans le sens de l'idéologie.Ça rappelle les propos de ces journalistes à propos des banlieues, pour qui il faut camoufler délibérément ce qui ne va pas dans le discours convenu, pour mettre l'accent sur les idées bien-pensantes.On savait que l'émission avait été montée, mais à ce point-là, ça parait assez incroyable.
Quand Canal + se met dans la peau d'un Noir Par Vincent Monnier du Nouvel observateur Télé. Qui démonte l'incroyable manipulation médiatique de l'émission «Dans la peau d’un Noir» diffusée sur Canal plus en janvier 2007. Nous n'avons pas pour habitude de reprendre des articles de la presse écrite mais celui-ci - largement ignoré dans la presse - vaut le détour !
A l’autre bout du fil, le directeur des éditions Michel Lafont ne se souvient plus très bien. « Un livre de révélations sur « Dans la peau d’un Noir » ? Oui, ça me dit quelque chose. Enfin, c’était juste une idée parmi tant d’autres. »

La mémoire qui flanche ?
Pour cette simple « idée », Laurent Richier, comédien touche-à-tout et ancien participant du documentaire, affirme, lui, avoir signé un contrat, reçu une avance et même la visite d’une des éditrices de la maison pour travailler sur le manuscrit pendant une quinzaine de jours. Bizarrement, l’ouvrage a fini aux oubliettes. Dommage. Il racontait par le menu les coulisses rocambolesques d’un programme qui, lors de sa diffusion sur Canal+ en janvier 2007, s’était attiré un concert de louanges dans la presse.

Inspiré par l’ouvrage de J. H. Griffin, un écrivain blanc s’était déguisé en Noir pour dénoncer le racisme dans l’Amérique des années 1960, ce programme présenté comme un documentaire et cornaqué par Renaud Le Van Kim, producteur en vogue du petit écran (« le Grand Journal », « Dimanche+ »…) reproduisait l’exercice avec deux familles, l’une blanche, l’autre noire. Enfermées ensemble pendant un mois dans une maison, elles étaient amenées à vivre différentes expériences en caméras cachées dans la peau de l’autre. Noble cause. Mais ne justifiant pas tous les moyens. « Le racisme, ça ne se raconte pas, ça se vit », clamait à l’époque Le Van Kim. Et quand ça ne se vit pas, ça peut aussi se recréer, serait-on tenté d’ajouter à la lumière des témoignages de la famille Richier, les « Blancs » de l’histoire.

A les écouter, les réalisateurs ne se seraient pas contentés de grimer les protagonistes. La réalité aurait, elle aussi, subi un sérieux raccord maquillage. « Je garde un vrai sentiment de malaise, explique Laurent Richier. J’ai fait passer des gens pour racistes alors qu’ils ne l’étaient pas. »

la suite sur le blog de polydamas: http://abimopectore.over-blog.com/article-30915314.html